Cindy e-artsup
Vibrez

Road to BGF : Cindy, former les jeunes talents créatifs avec e-artsup !

on
25 juin 2020

Road to BGF Virtual Experience – J-2

Découvrez Cindy, de e-artsup.

A deux jours avant l’événement 100% virtuel et tant attendu du BGF Virtual Experience, l’équipe du CAD a voulu se pencher sur les femmes et les hommes qui contribuent, incarnent, soutiennent et font vivre la pop culture au quotidien.

Bénévoles, partenaires, invités…ils vont pouvoir se livrer dès maintenant sur un format court, intimiste, à la fois profond et léger sur le BGF Virtual Experience, la thématique des années 90 et plus si affinités !
Action !

Bonjour Cindy !

Peux-tu te présenter stp ?

Salut à tous, je suis Cindy Randon, chargée de développement à e-artsup Bordeaux, une école qui forme les jeunes talents créatifs dans les métiers du graphisme, du design, du game, du cinéma d’animation et de la conception 3D et vfx. L’école est installée dans un magnifique hôtel particulier du XIXème de plus de 1000 m² en plein cœur du quartier des Chartrons à Bordeaux et deux pas du tram.

C’est une école de passionnés de création et j’ai la chance de voir des réalisations pointues quasi-quotidiennement faites par nos étudiants 😉

E-artsup : L’école de la passion créative

E-artsup : L’école de la passion créative

La culture geek dans ton enfance, c’est quoi et comment ?

La culture Geek a complètement changé et à une vitesse tellement incroyable ! D’ailleurs, on ne parlait pas de Geek il n’y a pas si longtemps.

C’est les débuts d’internet (internet ou téléphone il faut choisir, souvenons-nous-en ), les premiers forums, les débuts de l’infographie, l’animation sur Flash…

Bref je ne suis pas si vieille, mais on a vu passer tellement d’innovations en si peu de temps !

Comment avez-vous vécu le confinement côté E-artsup Bordeaux ?

On a switché en mode à distance en un week-end. La dématérialisation on connait bien dans nos métiers. Les étudiants ont suivi leurs cours sur des plateformes dédiées, on leur a organisé de nombreuses conférences en live sur toute la France, des masterclass avec des personnalités renommées dans le monde du digital. Nous avons également créé un lieu d’échange au travers d’une cafet’ virtuelle dans laquelle un DJ set a même été organisé !

On sait passer de bons moments ensemble à l’école, même à distance.

Nous avons même eu l’accompagnement d’un coach spécifique pour ceux qui le désiraient et tout à plutôt très bien roulé dès le début et jusqu’à aujourd’hui.

La continuité pédagogique a été bien vécu par les élèves ?

Oui ça s’est très bien passé puisque nous n’avons eu aucune discontinuité à e-artsup. Tous les cours ont eu lieu comme d’habitude.

Nous avons réalisé un sondage intervenants et étudiants et tout le monde était très satisfait. De nombreux professeurs de très haut niveau sont intervenus en distanciel et les étudiants ont également été suivis de près par toute l’équipe pédagogique. Le virtuel a apporté des choses exceptionnelles.

Que penses-tu de cette initiative ; proposer le premier festival pop culture d’Europe en 100% virtuel ?

Excellent ! On a super hâte de découvrir ça 😉

C’est aussi l’occasion de faire découvrir notre école et de rencontrer des gens d’un peu partout, et donc d’ouvrir les perspectives fabuleuses.

La thématique sur les années 90, ça t’inspire ?

Plutôt oui, les années 90 c’est ma jeunesse ! Des jeux vidéo au cinéma, en passant par les débuts de la culture geek, le web, le retrogaming, le graphisme de la culture pop ; c’est resté notre quotidien pas exclusivement bien sûr mais c’est un pan extrêmement important de la culture moderne qui nous nourrit. Ce thème est d’une très grande richesse bravo de l’avoir choisi.

Maléfique ou Horace Slughorn ?

Horace Slughorn – HP

Je n’ai pas vécu l’entrée dans le monde d’Harry Potter de manière aussi fantastique que la génération après la mienne, mais je dirai Horace Slughorn plutôt !

 

La virtualisation est-elle pour toi l’avenir de l’éducation dans son acception globale ?

Je pense qu’elle a clairement une part majeure dans l’avenir de l’éducation et la lutte contre la fracture numérique. Il faut la voir comme une valeur-ajoutée et non comme segmentante. Elle va permettre l’accès à l’éducation de façon encore plus large.

Découvrir de nouvelles manières de travailler, d’apprendre le sens des priorités, c’est une bonne expérience pour nos étudiants d’autant que dans le monde du digital c’est assez fréquent de travailler à distance…mais l’un ne va pas sans l’autre.

On a besoin de l’humain et du contact réel mais aussi nous devrons penser égalité numérique.

 

 

Et plus largement, le virtuel va-t-il et doit-il s’inscrire dans les entreprises, les institutions et te concernant les écoles ?

De la même manière, prendre le train ou l’avion pour quelques heures de réunion ça n’a pas de sens, et je pense que le confinement a participé à une réelle prise de conscience ; c’est aussi bien de chez soi et ça fait perdre moins de temps. On est bien plus efficace et on travaille plus intelligemment. La distance a aussi l’avantage d’ouvrir ses perspectives professionnelles, de rencontrer des personnes qu’on n’aurait pas pu rencontrer autrement que de façon dématérialisée.

Le télé-travail permet à beaucoup d’avancer plus vite et d’oublier de nombreuses contraintes, je pense notamment à ceux qui mettent une heure, voire plus, à se rendre à leur travail…sans parler de l’emprunte carbone que ça génère !

Il y a beaucoup d’avantages au télé-travail. Mais la force du lien social a vraiment plus de sens et d’impact au contact des autres.

Qu’allez-vous proposer pendant le BGF Virtual Experience ?

La Game boy sortie en 1989

On a un programme de dingue que je vous invite à découvrir : des illustrateurs, artistes, réalisateurs, animateurs 2D/3D…seront présents sur le stand tout au long des 2 jours pour échanger avec le public. Il y aura aussi la possibilité de participer au concours « Aujourd’hui dessine demain » organisé par e-artsup et ses partenaires, qui se clôture le 30 juin.

 

Une référence geek à partager ?

La game boy bien sûr ! avec sa petite loupe lumineuse pour pouvoir jouer dans le noir !

 

 

Un adage ?

Jon Krakaeur, auteur de Into The Wild.

Allez, disons  » Le bonheur ne vaut d’être vécu que s’il est partagé « , de Jon Krakauer dans Into the Wild.

On te voit les 27 et 28 juin sur l’île de la tentation geek ?

Avec grand plaisir, rdv sur le stand d’e-artsup !

 

 

 

 

 

 

 

Rendez-vous au Bordeaux Geekfest !

 

 

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